« Terre, air, feu : Acte IV »

Performance

〓 Date & Horaire 〓
Dimanche 15 septembre 2024 à 16h
Gratuit sur réservation
Je réserve


〓 Où ? 〓
Le Générateur

16 rue Charles Frérot, 94250 Gentilly
Métro ligne 14, Hôpital Bicêtre (12 minutes à pied)
Bus 57 et 184, Verdun Victor Hugo (1 minute à pied)
RER B, Gentilly (13 minutes à pied)
Tram T3a, Arrêt Poterne des Peuplies (10 minutes à pied)
Vélib (n°13111, n°42505)

À l’occasion de La Métropolitaine, l’artiste français Maxime Rossi est invité par les membres du comité de co-direction artistique à imaginer une œuvre ludique, poétique et participative. Il signe Terre, air, feu, un opéra synesthésique en 4 actes et 13 ateliers.

« Terre, air, feu conçu en quatre temps forts de mai à septembre, relie les programmations spécifiques de chaque lieu par une joute ludique et poétique, hommage à la culture du sport et de la fête.  

Terre, air, feu place le spectateur au centre de différents scénarios, parmi lesquels l’invention d’un quatorzième lieu, une montgolfière itinérante, symbole de voyage, de découverte et de créativité. À la fois repère visuel dans le paysage et espace d’exploration où les visiteurs et visiteuses peuvent contribuer à la réalisation d’une oeuvre collective, cette montgolfière cloud hopper se déplace de lieu en lieu comme un trait d’union, faisant aussi écho aux ballons qui ponctuaient le ciel parisien lors des Jeux Olympiques de Paris en 1924. 

Cet opéra sensoriel, voire synesthésique, vise à créer un espace d’échange où les spectateurs et spectatrices peuvent contribuer à la construction collective d’un récit. Il offre une approche sensible aux réflexions sur la capacité à établir de nouveaux liens narratifs, où l’environnement sonore, les décors et objets, les costumes et lumières, sont élaborés afin de créer une expérience dépaysante et immersive. 

Chef d’orchestre de cette composition luxuriante, Maxime Rossi sème des poèmes et récolte des fruits qui chantent. À nous d’en manger. »

Vittoria Matarrese, critique et commissaire indépendante

Maxime Rossi imagine, pour la clôture de La Métropolitaine, un spectacle de Boccia, sport paralympique. L’artiste propose à des athlètes d’interagir avec un métallophone, instrument de la famille des percussions. Autour d’eux, six musiciens percussionnistes : en plus de frapper les plaques métalliques avec des maillets, il faudra lancer et entrechoquer des boccie, sortes de boules de pétanque en cuir, pour obtenir des sons.

« Sur une partition quasi mathématique, ouverte et collaborative, les sportifs se font musiciens et la compétition devient concert. » Vittoria Matarrese

Accessibilité 

Un document pour venir au Générateur en Facile à lire et à comprendre est disponible ici : https://drive.google.com/file/d/1h2n0xeLmOlRSGdYngnCEpL5deigLUlHY/view?usp=sharing 
Les différents espaces du Générateur sont accessibles pour les fauteuils. Des assises sont mises à disposition et le centre d’art dispose de sanitaires pour les personnes à mobilité réduite.
Pour toute question liée à l’accessibilité, n’hésitez pas à contacter l’équipe de TRAM : 01 53 34 64 43 / lametropolitaine@tram-idf.fr.

Cet événement est programmé dans le cadre de La Métropolitaine, rendez-vous international d’art contemporain de la Métropole du Grand Paris, co-écrit avec TRAM, réseau art contemporain Paris / Île-de-France. + d’infos

Maxime Rossi

Né en 1980, vit et travaille à Paris. Diplômé en 2005 de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon, Maxime Rossi aime provoquer des télescopages entre des univers éloignés. Son travail défie les catégories pour puiser ses formes et son inspiration dans de multiples sources, à travers le prisme kaléidoscopique d’une pratique complexe et hétérogène mêlant […]
Maxime Rossi

Né en 1980, vit et travaille à Paris.

Diplômé en 2005 de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon, Maxime Rossi aime provoquer des télescopages entre des univers éloignés. Son travail défie les catégories pour puiser ses formes et son inspiration dans de multiples sources, à travers le prisme kaléidoscopique d’une pratique complexe et hétérogène mêlant sculpture, installation, performance, scénographie et vidéo. Il décloisonne les genres et fait se rencontrer des formes qui a priori, n’auraient rien en commun : burlesque et histoire de l’art, fanfare et opéra, botanique et musique stochastique…

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