Comment renouer des liens dans une époque où nos relations sociales ne passent qu’à travers une interface numérique ? Faut-il puiser dans nos racines et nos héritages pour réapprendre à se connecter directement à l’autre ?
Pour cette nouvelle représentation au Générateur, Uriel Barthélémi – batteur, compositeur, électro-acousticien – s’associe à la bassoniste et vocaliste Sophie Bernado. Ils mettent en discussion leurs instruments respectifs offrant un mariage de timbres rarement exécuté. Cette synergie entre les matières électroniques glaciales et la chaleur du basson, est fragmentée par des délais numériques créant des sections temporelles. Accompagnés par deux danseurs chorégraphes virtuoses du break, Salomon Asaro et Link Berthomieux dévoilent une interprétation à la croisée des mondes de la danse contemporaine et du hip-hop.
Une mappemonde blanche est dessinée sur le plateau : le public peut s’asseoir sur les continents illustrés ou sur les gradins. Nos quatre artistes évoluent indépendamment (ou presque) les uns des autres et sont portés par des jeux de lumières qui les font exister de manière successive et vive.
Distribution
Batterie, MAO, voix, composition : Uriel Barthélémi
Basson et voix, composition : Sophie Bernado
Danse et chorégraphie : Salomon Asaro
Danse et chorégraphie Link Berthomieux
Conception lumière : Guillaume Pons
Régie son et lumière en tournée : Fred Raby
Producteur : Passage Production
Co-producteur : Le Générateur